Label Vie rentre au rayon de la bourse
La bourse de Casablanca poursuit sa marche en avant dans le développement du marché financier marocain avec l'introduction de la société Label Vie se rapprochant ainsi de son objectif des 100 sociétés cotées à l'horizon 2010.
En effet alors que la société CMT (compagnie minière de touissit) vient à peine de franchir le pas voici que la bourse marocaine va accueillir sa première entreprise du secteur de la grande distribution alimentaire, élargissant par la même occasion les secteurs ainsi représentés.
Label Vie spécialiste de la grande distribution au maroc avec 13 supermarchés à décidé de faire appel au marché pour lever entre 456 et 524 millions de dirhams par une augmentation de capital de 20%.
mardi 12 août 2008
mercredi 18 juin 2008

La Bource de Casablanca a suivi "une évolution très favorable en 2006 par rapport à la majorité des bourses arabes et sa dimension ne cesse de croître", précise-t-il dans un entretien publié vendredi par l'hebdomadaire "La Vie Eco". "Aujourd'hui, nous pouvons placer la bourse de Casablanca parmi les trois ou les cinq premières au niveau des pays arabes", souligne le responsable de la place casablancaise, qui est très proche du modèle européen où les intermédiaires ont un rôle important en termes d'intervention, de conseil et de négociation.
Contrairement à la majorité des places arabes, gérées par un opérateur à "caractère presque public", la Bourse de Casablanca a un opérateur de marché privé, qui gère la place et veille à son développement sur le plan institutionnel, dans le cadre stratégique du financement de l'économie et du développement de l'épargne.
Concernant les fondamentaux de la Bourse (nombre de sociétés cotées, liquidité, valorisation etc), M. Kaitouni relève qu'il reste encore "un travail important à réaliser ( ) si on veut atteindre la dimension de marchés comme ceux du Koweït, de l'Arabie Saoudite ou des Emirats arabes unis". La liquidité en nombre de titres échangés et le nombre de sociétés cotées doivent encore être améliorés", note le responsable de la Bourse, qui connaît, selon lui, "une évolution mature et son niveau de valorisation demeure raisonnable". La bourse de Casablanca s'est engagée dans une stratégie visant à accroître sa dimension. Cette stratégie a déjà donné ses fruits en termes d'introduction et d'amélioration de la liquidité et de la volatilité, précise M. Kaitouni.
"Pour 2007, nous tablons sur un rythme d'introductions en bourse similaire à celui de 2006, c'est-à-dire une dizaine de sociétés si le programme est respecté", estime-t-il.
lundi 16 juin 2008
La bourse des valeurs de Casablanca
Définition : La bourse des valeurs est un marché où se rencontre des professionnels qui vendent et achètent des titres ou valeur mobilière à un prix négocié appelé cours.
Historique : Depuis sa création au 1929, la bourse de Casablanca a connu trois réformes : La 1ère en 1988 a attribué à la bourse des valeurs la personnalité morale, la seconde en 1967 a permit de la réorganiser juridiquement et techniquement et de la définir comme établissement publique, la troisième en 1993 amendée et complétée en 1996, a institué un ensemble d’intervenants et instauré des règles et des procédures techniques nécessaire au développement du marché financier marocain. Actuellement la bourse de Casablanca est un établissement privé.
Les principaux intervenants : La réforme de 1993 amendée et complétée en 1996, a institué quatre intervenants :
La société gestionnaire de la bourse : c’est une société privé dont le capital est détenu par les intermédiaires de bourse appelé société de bourse. Elle a pour mission d’assurer la gestion et le développement de la bourse.
Les sociétés de bourse : aujourd’hui au nombre de 13, les sociétés de bourse ont pour objet, outre la négociation en bourse, la garde des titres, le placement des titres émis par des personnes morales, la gestion des portefeuilles et le conseil de la clientèle. Ces sociétés sont le vecteur des professionnalismes et du dynamisme du marché boursier.
Le conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) : créé en juillet 1994, le CDVM est un établissement publique doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Il a pour mission de veiller :
A la protection de l’épargne.
A l’information des investisseurs.
Au bon fonctionnement des marchés des valeurs mobilières. Le CDVM est administré par un conseil d’administration, présidé par le ministre de finances, et composé du ministre de la justice, du gouvernement de bank al Maghreb ou leurs représentants.
Il comprend également trois personnalités désignées par le ministre des finances pour leur compétence dans le domaine économique et financier.
L’association professionnelle des sociétés de bourse (APSB) : L’APSB est un organisme regroupant tous les intermédiaires opérant à la bourse fondé en 1995, elle défend les intérêts collectifs et individuels de ses membres, il leur offre des services de représentation, d’information et de formation, c’est le porte parole des opérateurs de la bourse de Casablanca vis à vis des autorités de tutelle et des partenaires économiques et sociaux. Elle a un statut consultatif privilégié auprès des autorités du marché, notamment le ministre des finances et CDVM, pour tout ce qui concerne le respect de la déontologie et l’harmonisation des procédures boursières, l’introduction de métier et techniques et l’amélioration du fonctionnement du marché.
Les organismes de placement collectif des valeurs mobilières (OPCVM) : Les OPCVM sont des organismes qui gèrent des portefeuilles de valeurs mobilières pour le compte des épargnants. Ils ont crées pour aider les personnes qui n’ont pas la compétence, l’expérience ou le temps pour faire fructifier rationnellement leur épargne. La désignation OPCVM regroupe les sociétés d’investissement à capital variable (SICAV), et les fonds communs de placement (FCP).
SICAV : ce sont des sociétés anonymes jouissantes de la personnalité morale qui ont pour mission d’investir dans des valeurs mobilières.
FCP : n’est pas une société c’est une copropriété de valeurs mobilières dont l’épargnant acquièrent une part en investissant dans les FCP.
Les sociétés dont les actions sont cotées : Ce sont en général des sociétés importantes, qui remplissent un certain nombre de conditions :
être une personne moral.
avoir un capital d’au moins 15 million de dirham.
avoir établi ou fait certifier par un commissaire au compte les comptes annuels des trois derniers exercices.
diffusé dans le public au moins 20% des actions représentants leur capital social.
L’introduction en bourse est prononcée par la société gestionnaire.
Les valeurs mobilières, négociées à la bourse de Casablanca :
Deux valeurs restent au cours du marché financier, elles sont des titres représentatifs de droit d’associés ou de préteurs à long terme. Elles offrent l’avantage d’être aisément négociables en bourse.
Ces valeurs sont les actions et les obligations :
l’action reçoit des dividendes qui peuvent baisser, stagner, augmenter ou disparaître, tout dépend du résultat de l’entreprise.
les obligations : sont émis par des entreprises privées, des entreprises publiques et l’Etat. Les obligations sont des valeurs dites à revenu fixe c’est à dire qu’elle donnent à leur détenteurs le droit à un revenu régulier sans tenir compte du résultat de l’entreprise.
Historique : Depuis sa création au 1929, la bourse de Casablanca a connu trois réformes : La 1ère en 1988 a attribué à la bourse des valeurs la personnalité morale, la seconde en 1967 a permit de la réorganiser juridiquement et techniquement et de la définir comme établissement publique, la troisième en 1993 amendée et complétée en 1996, a institué un ensemble d’intervenants et instauré des règles et des procédures techniques nécessaire au développement du marché financier marocain. Actuellement la bourse de Casablanca est un établissement privé.
Les principaux intervenants : La réforme de 1993 amendée et complétée en 1996, a institué quatre intervenants :
La société gestionnaire de la bourse : c’est une société privé dont le capital est détenu par les intermédiaires de bourse appelé société de bourse. Elle a pour mission d’assurer la gestion et le développement de la bourse.
Les sociétés de bourse : aujourd’hui au nombre de 13, les sociétés de bourse ont pour objet, outre la négociation en bourse, la garde des titres, le placement des titres émis par des personnes morales, la gestion des portefeuilles et le conseil de la clientèle. Ces sociétés sont le vecteur des professionnalismes et du dynamisme du marché boursier.
Le conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) : créé en juillet 1994, le CDVM est un établissement publique doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Il a pour mission de veiller :
A la protection de l’épargne.
A l’information des investisseurs.
Au bon fonctionnement des marchés des valeurs mobilières. Le CDVM est administré par un conseil d’administration, présidé par le ministre de finances, et composé du ministre de la justice, du gouvernement de bank al Maghreb ou leurs représentants.
Il comprend également trois personnalités désignées par le ministre des finances pour leur compétence dans le domaine économique et financier.
L’association professionnelle des sociétés de bourse (APSB) : L’APSB est un organisme regroupant tous les intermédiaires opérant à la bourse fondé en 1995, elle défend les intérêts collectifs et individuels de ses membres, il leur offre des services de représentation, d’information et de formation, c’est le porte parole des opérateurs de la bourse de Casablanca vis à vis des autorités de tutelle et des partenaires économiques et sociaux. Elle a un statut consultatif privilégié auprès des autorités du marché, notamment le ministre des finances et CDVM, pour tout ce qui concerne le respect de la déontologie et l’harmonisation des procédures boursières, l’introduction de métier et techniques et l’amélioration du fonctionnement du marché.
Les organismes de placement collectif des valeurs mobilières (OPCVM) : Les OPCVM sont des organismes qui gèrent des portefeuilles de valeurs mobilières pour le compte des épargnants. Ils ont crées pour aider les personnes qui n’ont pas la compétence, l’expérience ou le temps pour faire fructifier rationnellement leur épargne. La désignation OPCVM regroupe les sociétés d’investissement à capital variable (SICAV), et les fonds communs de placement (FCP).
SICAV : ce sont des sociétés anonymes jouissantes de la personnalité morale qui ont pour mission d’investir dans des valeurs mobilières.
FCP : n’est pas une société c’est une copropriété de valeurs mobilières dont l’épargnant acquièrent une part en investissant dans les FCP.
Les sociétés dont les actions sont cotées : Ce sont en général des sociétés importantes, qui remplissent un certain nombre de conditions :
être une personne moral.
avoir un capital d’au moins 15 million de dirham.
avoir établi ou fait certifier par un commissaire au compte les comptes annuels des trois derniers exercices.
diffusé dans le public au moins 20% des actions représentants leur capital social.
L’introduction en bourse est prononcée par la société gestionnaire.
Les valeurs mobilières, négociées à la bourse de Casablanca :
Deux valeurs restent au cours du marché financier, elles sont des titres représentatifs de droit d’associés ou de préteurs à long terme. Elles offrent l’avantage d’être aisément négociables en bourse.
Ces valeurs sont les actions et les obligations :
l’action reçoit des dividendes qui peuvent baisser, stagner, augmenter ou disparaître, tout dépend du résultat de l’entreprise.
les obligations : sont émis par des entreprises privées, des entreprises publiques et l’Etat. Les obligations sont des valeurs dites à revenu fixe c’est à dire qu’elle donnent à leur détenteurs le droit à un revenu régulier sans tenir compte du résultat de l’entreprise.
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